L’odeur préférée du cocu

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il y a 2 ans

Comment me trouves-tu ?

Ma femme sort de la salle de bain en petite tenue ; un ensemble slip- soutien- gorge que je ne lui connais pas.

Je dis -superbe

Et comme ça ; elle fait une pirouette sur elle-même et je me rends compte qu’en fait de slip elle porte un string qui met son petit cul en valeur

  • Ma cochonne, tu vas l’affoler ! Et disant cela je sens mon sexe se dresser aussitôt. Cela n’échappe pas au regard lubrique de ma femme d’autant plus qu’en ce jour de canicule je ne suis vêtu que d’un ample caleçon. Elle tend sa main et empoigne ma bite érigée comme une pique.

Ca t’excite de penser que ta petite femme va se faire baiser. Vraiment tu es un beau salaud. J’essaye d’en profiter et de l’attirer à moi mais elle s’esquive et court dans sa chambre en rigolant et sous le prétexte qu’elle va être en retard. Elle s’est faite belle, fardée, pomponnée et elle craint que je ne mette en désordre la belle ordonnance.

Elle enfile une robe légère de coton largement décolletée. Puis toute virevoltante et souriante elle me tend sa joue et court vers son amant sans le moindre remord pour moi. Je me sens seul tout d’un coup et mes sentiments sont complexes. Jalousie d’abord de l’avoir vue partir si guillerette aller se faire baiser, troublé en même temps, songeant à ces mains, cette langue sûrement et ce sexe qui allaient tout à l’heure la fouiller. J’allume la télé pour écouter un peu les infos, mais mon esprit erre ailleurs vers la petite Twingo qui mène ma femme vers la débauche entre les bras d’un homme à peine entrevu. Et puis je l’imagine demain rentrant au matin souillée, suintant la sueur le sperme et ses propres jouissances et je m’impatiente à l’idée de ses longues heures qui me séparent de son retour.

Moment ou je vais la renifler dans ses recoins les plus intimes, sa fente malmenée toute une nuit, peut être sa rosette déformée, ses seins triturés et sûrement souillés de sperme. Je t’aime ma petite femme chérie ! Tu as pris depuis ces nouveaux jeux une dimension toute autre. Tu te complais à me raconter ensuite tes turpitudes longuement avec moult détails. Et nos rapports sont mille fois plus riches. Pourtant il y a six mois encore tu étais la femme d’un seul homme, tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte n’avaient connu que moi. Et puis il y a eu Hunter le bien nommé. Il avait été envoyé par la maison mère américaine de la boite ou tu travailles comme analyste et c’était toi qui avais été chargée de le guider. Tu avais d’abord été séduite par son efficacité sa capacité de travail, d’analyse. Les méthodes américaines dont il usait. Tu m’en parlais le soir avec enthousiasme. J’avais une confiance absolue en toi et pas une seconde je n’ai été jaloux de votre complicité.

Et curieusement c’est vers la fin de son séjour a Paris et comme tu avais tout soudain cessé de m’en parler que brusquement un doute affreux m’a saisi. Nous venions de nous coucher et brusquement j’ai dis. - tu ne me parles plus de Hunter ? Tu as parue surprise. -Mais si ; as-tu protesté. -Non ça fait plusieurs jours que tu ne m’en as plus parlé. J’ai martelé soudain pris d’un affreux doute - as-tu couché avec lui ? -Non je te le jure. Tu as dis cela d’une telle manière que mes doutes se sont de suite envolés. Bizarrement j’étais à la fois rassuré et pour être franc un peu déçu. J’ai insiste encore -mais pourtant je devine qu’il s’est passé quelque chose ; Je me trompe ? Un long silence a suivi puis tu as poursuivi -Il y a deux jours il a cherché à m’embrasser me disant qu’il avait une envie folle de moi. -Et tu t’es laissée faire !

Non il m’a prise dans ses bras m’a caressée tout en cherchant ma bouche mais je me suis dérobée. Je lui ai rappelé que j’étais mariée et que d’ailleurs lui aussi l’était. Il s’est excusé mais il a persisté en disant qu’il me désirait comme jamais il n’avait désiré une femme et que d’ailleurs il sentait bien que moi aussi je n’étais pas insensible.

J’ai serré ma femme dans mes bras et j ’ai chuchoté -c’est vrai tu le désirais ? Tu as mis un long temps pour me répondre et curieusement j’ai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de ton silence. Toi-même s’en t’en rendre compte tu l’as saisie, t’es lovée encore plus contre moi et les yeux levés soudain vers moi tu as chuchoté- Je crois que oui ! Puis tu as précisé - avant qu’il ne me prenne dans ses bras je n’y avais pas songé, j’étais simplement bien avec lui, j’admirais sa manière d’être, son efficacité au travail, mais quand il m’a serrée j’ai eu l’impression que la terre tournait plus vite, mon cœur c’est emballé.

Ses mains qui parcourraient fiévreusement mon corps m’embrasaient. Pendant un instant j’ai faillis céder à ces caresses puis, je me suis reprise, j’étais soudain furieuse et de lui et de moi-même. Je l’ai repoussé avec brusquerie et je me suis dégagée. Je m’en voulais car je me sentais brûlante et que ma poitrine palpitait encore fortement. J’ai refermé les dossiers puis suis sortie du bureau. J’ai été aux toilettes me mouiller le visage ce qui m’a aidée à reprendre mes esprits. Elle s’est lovée contre moi un peu plus. J’ai dis-Tu as senti sa queue contre toi ? Tu as murmuré un « oui » timide. J’ai alors glissé ma main entre ses cuisses

  • Et tu mouillais comme ça ?

-J’étais trempée.

Sous mes doigts ta chatte était gonflée de plaisir, brûlante et toute gluante de mouille, ton clitoris excité ondulait sous mes caresses. Nos bouches se sont mêlées dans un baiser passionné, je suis monté sur toi pour mieux te sentir, tu as glissé ta main entre nos ventres et tu m’as dis -viens prends-moi ; tout en l’insérant en toi. Jamais tu n’avais été aussi ouverte, jamais mon sexe n’avait été aussi gros. Je te sentais baveuse sous mes coups de boutoirs. J’aime te baiser ma chérie je suis si heureux lorsque je suis enchâssé au fond de toi, et ce soir-là j’ai adoré plus que jamais. De te savoir désirée par un autre que moi te rendait plus précieuse, et c’est à ce moment je crois que nos jeux pervers sont nés. Je me coulais en toi et je ne pouvais m’empêcher de penser qu’un autre homme maintenant convoitait ta chatte si douce. Je n’étais plus le seul objet de tes pensées et ta fente depuis peu aspirait à une autre bite je le devinais. Elle rêvait de se faire bourrer par la queue de cet américain, j’en étais certain. Le plus étrange était que cette simple pensée qui aurait du me rendre fou de rage avait une face excitante. Ce soir nos orgasmes ont été ravageurs. Je t’avais inondée de sperme, et le plaisir a été si intense que je pense que nous nous sommes endormis de suite.

Comment ai-je pu le lendemain te laisser aller à ton travail. Tu allais vers un autre homme désormais mon rival et je n’ai rien dis. Toute la matinée je n’ai fais qu’imaginer de drôles de choses. La jalousie me mordait au cœur, et je m’en voulais de t’avoir laissée partir. Je me disais -Sûrement qu’il essaye de la peloter, de l’embrasser et je n’étais même plus confiant en toi. Vers le coup de midi j’arrivais au paroxysme de l’angoisse, j’imaginais le pire, je me disais- si ça se trouve en ce moment il caresse ses seins, ou alors il glisse une main sous sa jupe et même pire -peut être qu’elle caresse sa queue. Je me figurais des scènes torrides et j’enrageais. Comme un fou je décidais alors de t’épier. Il fallait que j’en ai le cœur net. Je savais que régulièrement après le repas pris à la cantine de l’entreprise tu avais l’habitude d’aller prendre ton café au bistro du coin avec plusieurs de tes collègues.

Je me rendis comme un fou là où tu travaillais et me postais à une courte distance du troquet. Derrière une colonne Morris bienvenue, je contrôlais à la fois la sortie de son travail et l’entrée du bistro. Bon s a n g comme le temps parait long dans ce genre de situation. Je commençais à désespérer de la voir sortir quand soudain je vous ai aperçus tous les deux bras dessus bras dessous. Vous discutiez de manière enjouée. Je connais ma femme, et elle avait l’allure des jours heureux. Quand elle se meut de cette manière c’est qu’elle se sent bien et en l’occurrence visiblement elle s’accrochait au bras de Hunter avec bonheur. Un instant j’ai failli intervenir, m’interposer, mais j’ai eu peur de la réaction de mon épouse

Et après tout il ne se passait rien de compromettant pour elle. Je tentais de me résonner en me disant qu’une femme peu bien tenir le bras d’un collègue sans prêter à mal. Puis je me rassurais quand les épiant jusqu’au bout je dus me rendre à l’évidence qu’à part cela je n’avais rien à reprocher à mon épouse. Pourtant rentré à mon bureau je me rendais compte tout soudain que quelque part j’avais été déçu de n’avoir rien constaté de compromettant. En m’analysant honnêtement je devais admettre que j’avais été déçu de la sagesse de ma femme. Au fond j’avais espéré la voir dans les bras de l’Américain peut être s’embrassant ou plus se caressant.

Et puis à nouveau je m’inquiétais me disant que sûrement ils avaient joué la prudence et maintenant entre les quatre murs de leur bureau il devait peut-être se l’enfiler et à cette simple évocation je me sentis devenir dur, ma queue soudain à l’étroit dans mon pantalon. Je me disais- sûrement qu’en ce moment elle suce sa grosse bite et ça faisait du bien a la mienne. Mon travail s’en est ressenti ce jour-là et les autres ensuite d’ailleurs. Je n’ai rien dit à ma femme de mes excursions du midi. Et le soir au lit je la prenais avec frénésie l’imaginant la bouche pleine de son amant la chatte éclatée de son gros chibre.

Ainsi jusqu’au dernier soir j’ai vécu la tête pleine de ces sentiments tellement contradictoires ; une folle jalousie et en même temps cette excitation à l’imaginer adultère.

Nous étions donc vendredi soir et lorsque je suis entré du travail le soir j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas. Le visage de ma femme était sombre elle avait perdu son somptueux sourire, j’avais du mal à lui soutirer deux mots.

J’ai dis- ça va pas ?

Tu as été dans la cuisine pour éluder ma question

Je t’ai suivie et comme j’insistais tu t’es emportée ce qui n’est pas dans tes habitudes.

J’ai pose délicatement ma main sur ta nuque comme pour t’apaiser

  • Confis-toi à ton mari !

Alors tu as pleuré, blottie contre moi tu t’es laissée aller à déverser ton gros chagrin. Tu as dis Hunter part demain

  • Et tu es malheureuse ?
  • Oui
  • Depuis quand tu couches avec lui ?

Tu t’es révoltée - je n’ai pas couché avec lui

  • Alors que s’est il passé ?
  • Cet après midi il m’a prise soudain dans ses bras et là j’ai perdu la tête, je lui ai rendu ses baisers, ses caresses, j ai laissé sa main se glisser sous ma jupe, j’ai écarté les cuisses pour faciliter son passage vers ma chatte en feu, j ai caressé sa queue par-dessus son pantalon pendant que ses doigts s’enfonçaient dans mes chairs.

Tu es restée un moment silencieuse.

J ai insisté - et alors ?

Ses pleurs ont redoublés.

  • Alors il m’a faite me pencher sur le bureau, il a retroussé ma culotte, j’étais prête à me donner à lui, j’ai senti son sexe effleurer mes chairs quand soudain nous avons entendu des pas. J ’ai juste eu le temps de rabattre ma jupe. La secrétaire nous a annoncé que le patron demandait à nous voir, elle avait un drôle d’air comme si elle avait senti qu’il s’était passé quelque chose. Surprise ! Le Big Boss avait organisé un pot pour nous féliciter du bon travail et pour regretter le départ de Hunter.

J’ai demandé -Et après le travail ?

  • Rien ! Nous n’avons pas pu nous trouver seuls le moindre instant, et de plus à la fin le patron et lui sont sortis sans que nous puissions échanger le moindre mot.

J’étais atterré par ces confidences, elle a du le sentir car retournant son visage elle a dit

  • Tu dois m’en vouloir beaucoup !

Et bien curieusement je ne lui en voulais pas. Elle a poursuivi ; par la suite il m’a appelée sur mon portable, il avait réussi à se débarrasser du patron et me demandait de le rejoindre.

  • Alors ?

J’ai répondu que ce n’était pas possible, qu’en fin de compte heureusement que nous avions été interrompus et que je lui souhaitais bon retour aux States.

J’ai vu quelle était bien malheureuse, et du fond du cœur j’ai crié - tu es folle ! tu aurais du accepter

Elle a paru ne pas comprendre. C’est toi qui me dis ça ?

  • Oui c’est moi et tu vas lui téléphoner de suite pour lui dire que tu le rejoins.
  • Tu deviens fou ! Toi mon mari me demander de rejoindre un autre homme !
  • Oui ! Moi ton mari parce que je t’aime et que j’ai peur de vivre avec une femme qui aurait des souvenirs et des regrets dans la tête. Je t’ai tendu le combiné du téléphone -Vas-y ! Téléphone-lui !

Tu as hésité J’ai insisté -Vas-y téléphone avant que je ne le regrette, et d’ailleurs je vois bien que tu en meurs d’envie. Alors tu t’es jetée dans mes bras en m’embrassant follement

Tu as dis -tu ne le regretteras pas c’est sur ?

  • Je ne t’en voudrais pas mais j’y ajoute une condition ; c’est qu’au retour tu me racontes tout dans les détails et que…….. tu ne te laves pas en rentrant le lendemain que je te hume au retour de l’amour

Tu as parue abasourdie. - Que je te raconte tout et que je ne me lave pas ?

  • Oui
  • Tu deviens vicieux !
  • Oui je crois. Alors d’accord ? et je t’ai tendu le combiné téléphonique

En manière d’acquiescement tu as composé son numéro. J’avais le cœur qui battait à cent a l’heure. Tu t’exprimais en anglais et malgré mon peu de maîtrise de cette langue j’ai compris que tu te proposais de le rejoindre. Puis tu t’es retournée vers moi ; -Toujours d’accord ?

J’ai fais oui de la tête. Alors t’exprimant en français tu lui as dis - à tout de suite !

Nous sommes restés un long moment à nous observer sans la moindre parole puis d’une tapette je T’ai encouragée. J’ai dis -allez vas vite te faire belle. À partir de là les choses ont été vite comme aujourd’hui tu t’es douchée et parfumée fardée tu as revêtu tes plus beaux dessous, une robe noire et comme il faisait très froid ce jour tu as enfilé par dessus ton manteau de vison. Tu étais superbe. Et comme ce soir tu as volé vers la débauche, vers un amant me laissant seul excité et frustré.

Comme les heures peuvent paraître longues a certains moments de l’existence ! Ainsi que ce soir j’avais essayé d’occuper mon esprit passant de la télé a la lecture d’un bouquin. Mais je ne pouvais m’empêcher de vous imaginer des scènes torrides entre toi et ton amant. J’éprouvais un plaisir morbide à vous deviner dans des situations obscènes. Je souffrais mais j’aimais ça à la fois. Je me disais - En ce moment elle doit être nue sur son lit cuisses écartées et sûrement qu’il doit lui manger le minou. Je connais bien ma femme elle adore se faire brouter et elle devait être fondante de mouille sous sa langue, il doit avoir enfoncé ses doigts bien au fond de sa chatte et elle doit onduler sous ces caresses. Ou alors c’était comme si je la voyais la bouche pleine de son gros chibre.

Plus tard j’ai essayé de dîner mais les bouchées ne passaient pas. Pour être franc je me masturbais à l’imaginer la fente pleine de son gros sexe. Ce fut une nuit délicieuse de perversité que d’imaginer ma femme adorée entre les bras d’un autre. Là en ce moment évoquant la première nuit adultère de mon épouse je connais la même excitation, la même impatience. La retrouver demain toute souillée, toute odorante des ces parfums d’amour, de sexe, la mine fatiguée de s’être tant donnée, un peu honteuse malgré tout mais cependant l’œil un peu provocateur. Semblant m’annoncer ainsi sa nouvelle toute puissance de femme libérée. En écrivant ces pages je tache de davantage tuer le temps qui me sépare de sa venue. Il y a six mois je m’étais épuisé à essayer de trouver le sommeil jusqu’à ce qu’à l’aube presque vaincu de fatigue je m’étais endormi. Et c’est le bruit de ces clefs ouvrant la porte qui m’avait réveillé. Il était 8 heures passées. Bon s a n g dans quel état elle rentrait ! Crevée, fanée, sans f o r c e presque. -J’ai dit-« Alors ! »

  • Je suis m o r t e de fatigue !
  • Il t’a bien baisée !
  • Il m’a tuée !

J’ai essayé de la prendre dans mes bras, mais elle m’a repoussé

  • Non s’il te plait je suis lasse, prépare-moi plutôt un bain.
  • Tu as oublié nos conventions, je te veux suintante d’amour.

Je l’ai portée dans notre chambre et là affalée sur le lit, je l’ai déshabillée. Il s’exhalait de tout ton corps une odeur troublante de sueur d’amour et de sexe, de sperme et de mouille, un cocktail affolant qui m’enivrait, m’affolait et me donnait l’envie brusque de la prendre ainsi dans ses souillures. J’en ai profité pour glisser un doit entre les lèvres de sa chatte. Elles étaient poisseuses. Elle s’est plainte !

  • « Laisse-moi s’il te plait, je suis vannée, j’ai besoin de dormir.

Elle s’est glissée sous les draps et en un clin d’œil s’est endormie. J’étais profondément déçu, je devais attendre encore avant de savoir. Il ne me restait plus que le loisir de la contempler dans son sommeil. Je remarquais ses traits tirés ; combien de fois lui avait-il fait l’amour ? J’ai profité de sa torpeur pour la humer dans ses recoins les plus intimes, j’ai écarté ses fesses et j’ai constaté à l’état de sa rosette irritée et quelque peu défoncée, qu’il avait su l’honorer par cette voie là aussi. Bon s a n g comme elle était belle ainsi souillée ! Je me suis collé contre son corps, j’ai glissé ma queue tendue contre ses fesses. Elles étaient brûlantes, elle a geint un peu dans son sommeil mais j’ai vite atteins l’entrée humide de son vagin.

Quel bonheur que de ressentir du bout du sexe la chaude moiteur du sexe de sa femme chérie ! Surtout quel piment que d’imaginer que quelques instants auparavant un autre chibre s’est aussi infiltré de la même manière dans cet antre de plaisir ! Hélas dans l’état d’excitation où je me trouvais j’ai vite éjaculé surajoutant par la même mon sperme a celui de mon rival ! Je me retrouvais bête et déçu puis sevré de sommeil comme je l’étais j’ai vite sombré dans le néant tout contre elle. Il faisait bien jour quand je me suis réveillé. Une bonne odeur de cuisine avait du chatouiller mes narines et me tirer de mon sommeil. Je retrouvais ma femme dans la cuisine à ses fourneaux en train de préparer de délicieux spaghettis à la bolognaise. Encore toute nue ! Je dis-« bonjour » !

  • Bonjour chéri ! Elle avait une mine comme ravie de me revoir -Bien dormi ?

Je me suis rapproché d’elle pour l’embrasser dans le cou, les mains un peu baladeuses ! Elle me tendit sa bouche, nos langues se mêlèrent un peu. Je la humais en même temps.

Elle éclata de rire -non je ne me suis pas lavée comme tu le crains, suis encore toute poisseuse de sperme. Ca va tu es content comme ça ! Elle semblait heureuse de nos retrouvailles, se faisant câline, et caressante et elle flattât d’une main douce ma bite toute droite déjà. J’en profitais pour lisser un doigt dans sa chatte gluante et dans le mouvement essayais de l’entraîner dans la chambre à coucher. -Allez viens racontes moi tout !

  • Non je meurs de faim et les spaghettis n’attendent pas !

Nous nous sommes installés à table, je la regardais avec amour. Dans un premier temps nous avons mangé en silence puis c’est elle qui a parlé la première mettant fin à mon impatience.

  • D’abord mon chéri je voudrais te remercier pour ta largeur d’esprit ! Hier soir j’étais très malheureuse et frustrée d’avoir quitté Hunter ainsi. J’avais le cœur brisé et tu as su le comprendre. Maintenant je peux te le dire mais j’avais une envie folle de sa bouche, ses bras, sa peau sa…. Bite j’ose le dire. Et quand tu m’as proposé de le rejoindre, j’ai cru rêver. Elle s’interrompt un moment.
  • Je ne te choque pas en te parlant si crûment ? Vous pensez si elle me choquait en fait a ses paroles je sentais ma queue se dresser. J’ai dit - rassures toi ma chérie au contraire même ça m’excite.

Elle observa un moment puis poursuivit.

  • Quand je l’ai retrouvé dans sa chambre d’hôtel je me suis jetée contre lui avec fièvre !
  • Il m’a serrée contre lui avec f o r c e puis m’a poussée sur le lit tout proche. Il m’a déshabillée avec impatience.
  • J’ai dis -toute nue ?
  • Oui en un tour de main nous nous sommes retrouvés nus l’un contre l’autre à nous caresser à nous embrasser. Il était sur moi et je sentais son sexe battre contre mon ventre.
  • Comment était il ? Je posais cette question avec anxiété.
  • Enorme, plus long et plus épais que le tien si c’est ce que tu espères savoir !

Je me suis senti vexé et jaloux mais curieusement heureux à la pensée d’un énorme chibre coulé dans sa chatte.

J’ai dit - terminons vite de manger puis allons vite dans notre chambre.

A partir de là nous avons mis les bouchées doubles puis je l’ai amenée avec impatience sur notre lit conjugal

Je me suis penché sur elle avec un amour immense, me suis glissé entre ses cuisses pour humer les senteurs de sa fente souillée.

Bon s a n g comme sa chatte était excitante, je la reniflais, ce qu’elle sentait fort, suintante de mouille et du sperme de son amant.

Comme j’avançais ma bouche pour la lécher elle tenta de m’arrêter sans doute gênée par le parfum trouble qui s’en dégageait. La situation devait cependant la troubler car son minou était luisant de mouille. Je repoussais gentiment la main qui tentait de me contenir et d’un coup de langue rapide je lapais les chaires roses. Quel goût ! Pour être franc un peu fort et trop odorant de prime abord. Mais je surmontais le premier haut le cœur et vite je m’excitais à la lécher avec gourmandise, songeant qu’un autre s’était penché là-dessus, l’avait fouillée de sa langue, ses doigts, sa bite énorme aux dires de ma femme. Déjà ma femme geignait.

J ai dit- « Il te mangeait comme ça ? »

  • Ouiiiiiiii ! Continues ! Lèche son sperme mon chéri, mange la petite chatte de ta salope de femme qui s’est bien faite baiser !
  • Tu n’as pas honte de me parler comme ça
  • Non, tu l’as voulu, tu m’as poussée à m’offrir à un autre, je veux te faire sentir ta condition de cocu maintenant, j’adore çà et puis cesse de parler et lèche-moi !

Ce qui est curieux, c’est que ses insultes m’excitaient davantage. Je me suis rué sur son con malodorant avec encore plus de frénésie, lui léchant au passage son anus défoncé visiblement.

Elle a crié – Oh oui ! Lèche bien mon petit trou, ça fait du bien il m’a tellement f o r c é e par-là. J’ai enfoncé un doigt sans beaucoup avoir à f o r c e r dans sa rosette suintante, puis deux.

Elle ondulait dessus.

  • Oh oui, c’est bon !!!

Je ne reconnaissais plus mon épouse ! Si dévergondée soudainement ! Et j’en étais ravi.

Ma pine gonflée allait exploser. J’ai pris alors sa bouche puis j’ai présenté ma queue a l’orée de son vagin. Je m’y suis introduit sans précaution comme pour me venger de cette chatte infidèle.

Ma pine était énorme d’excitation, à la pensée surtout qu’une autre plus grande et plus grosse l’avait fouillée. Elle a poussé un cri qui tenait de la douleur et du plaisir. Bon s a n g que j’aime quand je la baise ainsi, que j’adore me sentir au fond de son trou chaud et moelleux. Elle était baveuse de mouille ma chatte gourmande !

  • Salope tu aimes bien çà, hein, la bite !

J’ondulais dans son ventre, j’allais venais et c’était trop bon. Je l’ai limée un bon moment comme ça, puis à un moment je l’ai retournée pour la prendre à quatre pattes.

  • Hé comme ça, il t’a prise ?
  • Oui comme une chienne et c’était trop bon !

J’ai bien agrippé ses hanches, pour la fourrer comme un f o r c e né.

Quel magnifique spectacle que son cul cambré offert ainsi à mes assauts, ses grosses lèvres écartelées .Comme son amant avait du se régaler aussi de cette vision somptueuse !

J’ai claqué ses fesses tout en l’insultant la traitant de cochonne de sale pute infidèle.

  • Tu m’as trompé salope hein ?
  • Ouiiii mon cocu chéri ! Elle était grosse et dure sa bite, il m’a défoncée ! Vas-y encore plus fort !

Elle hurlait et geignait sous mes coups de plus en plus rapides ! Et soudain un énorme orgasme l’a secouée, je l’ai sentie s’échapper d’entre mes mains au moment même où je me déversais dans son vagin. Nous nous sommes effondrés sans f o r c e corps contre corps comme deux masses inertes et repues de plaisir. Cette matinée de samedi a été un moment mémorable de notre vie de couple. Sa franchise a été totale. Cà l’excitait de retracer dans les moindres détails sa nuit de débauche et immanquablement ma queue se redressait d’excitation et nous faisions alors l’amour avec une fougue toute nouvelle.

Les jours et les semaines qui ont suivi ont été des heures d’orgies. Plus elle retraçait les détails scabreux de sa nuit de folie plus cela nous enflammait. Je ne me lassais pas de l’écouter me narrer sa nuit de folie et elle prenait plaisir me semble t il a en rajouter et quelque part à m’humilier !

Maintenant le terme de cocu fleurissait couramment de sa bouche.

Elle disait par exemple- « viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri ! » Ou alors – « qu’est ce que j’aimais sa grosse bite » cherchant par-là à me diminuer. Et curieusement c’était là des paroles qui sonnaient bon à mes oreilles tant je prenais du plaisir à me sentir rabaissé.

Une dizaine de jours plus tard notre excitation s’est amplifiée lorsque Hunter lui a téléphoné.

Il devait faire escale à Londres pour une nuit « est ce qu’elle pouvait le rejoindre, il mourait d’envie d’elle ». Sans me consulter elle avait accepté ; et le soir à mon retour de travail lorsque j’avais appris la nouvelle, j’avais de suite senti ma queue se durcir dans mon slip. Pendant la semaine qui nous séparait de son départ pour Londres notre folie de sexe a atteint un point de jouissance incroyable. Elle se faisait une joie de ses retrouvailles d’avec son amant et moi à nouveau je rêvais de nouveaux récits de sa future nuit de débauche. Je lui faisais l’amour tout en imaginant un autre, là à ma place entre ses cuisses. Hélas un nouveau coup de fil de Hunter nous douchait tous les deux ; son escale d’une nuit à Londres était annulée. Le coup a été dur pour ma chérie qui se faisait un tel plaisir de sa nuit adultère, et je pense plus douloureux encore pour moi qui m’étais fait une telle joie à l’idée d’être à nouveau cocu. La déception a été telle que durant quelques jours nous sommes restés même sans faire l’amour. Une obsession qui en venait même à friser la folie me la faisait toujours imaginer se faisant bourrer par un autre. Un soir n’y tenant plus j ’ai dit « Enfin il n’y a pas que Hunter, sûrement que d’autres hommes te font la cour en ce moment !

A ma grande surprise tu t’es jetée dans mes bras me couvrant de baisers !

  • « Comme tu es merveilleux mon chéri, je n’osais pas t’en parler mais depuis quelque temps mon prof de comédie me fait une drague d’enfer ! Chaque fois qu’il reprend mes mouvements il en profite pour m’effleurer, quelquefois même me tripoter. J’ai dis –« Il te plait ? »
  • Oh oui il est très mignon et justement il voulait ce soir que je le rejoigne pour finir de mettre au point mon jeu dans la pièce que nous répétons !
  • Et pourquoi ne m’en as tu pas parlé plus tôt ?

Je n’arrivais pas à me décider ! Tu as tendu ta main vers le combiné téléphonique.

  • Tu es d’accord ?

J’ai dit oui ,mais tu te rappelles nos conditions ?

  • Oui ne pas me doucher et te revenir la chatte encore pleine de sperme ! Mon cochon de mari ! Puis tu m’as tendu tes lèvres de miel et tu as tâté de ma queue pour te rendre compte comme j’étais excité. Après les choses ont été rapides. Vite douchée, fardée, habillée tu m’as laissé seul sans remords à tes nouveaux jeux, toi impatiente soudain et moi en transes avec dans la tête mille images perverses. Comme pour la première fois j’ai essaye de fixer mon attention dans des émissions télé mais très vite mon esprit à vagabonder. J’ai imaginé son arrivée chez son prof, les scènes de la pièce a répéter, avec ses mains d’homme baladeuses sur le corps consentant de ma femme, puis cette longue glissade vers le plaisir qui allait les unir.

Ce qu’il y avait de mieux cette fois c’est que ce nouvel amant elle pourrait le rencontrer souvent m’offrant ainsi a chaque fois sa chatte souillée, et puis une chose que j’imaginais troublante c’était d’avoir par la suite à le rencontrer en cocu que j’étais maintenant. Plus tard je me suis assoupis devant la télé et c’est le bruit des clefs sur la porte qui m’a réveillé. J’ai regardé l’heure à ma montre poignet, il n’était pas même encore minuit. Je te connais ma femme ; tu n’avais pas l’air de bonne humeur. J’ai dit.

  • Qu’est ce qui t’arrive, déjà de retour ? Vous n’avez pas fait l’amour ? Tu as fondu en larmes.

  • Si m’est c’est un piètre amant ! Il éjaculait trop vite.

  • Allez viens racontes moi !

  • Nous avons été au lit, tu t’es blottie contre moi toute petite toute malheureuse. Tout avait bien commencé pourtant. Il avait fait mine de te faire mieux prendre conscience de ton rôle avec comme à son habitude depuis quelque temps, de t’effleurer, puis il t’avait embrassée, entraînée vers un large fauteuil. Vous vous étiez longuement caressés, lui glissant ses doigts dans ta chatte déjà baveuse et toi empoignant sa bite par-dessus l’étoffe de son pantalon. Avec impatience tu l’avais extirpé du slip pour le porter à ta bouche. Et c ’est la que les choses se sont gâtées.

  • À peine je l’avais léché qu’il est parti. Son sperme a giclé sur mes lèvres et mon visage. Tu ne peux pas savoir comme j’étais déçue moi qui avait envie de la sentir palpiter dans ma bouche. Il s’est excusé le pauvre. Il y avait si longtemps qu’il me désirait qu’il n’avait pas réussi à se contenir. Pour se faire pardonner il a glissé entre mes cuisses pour me donner du plaisir. Il a enlevé ma culotte et m’a léchée longuement mais je ne sais si c’était du à mon énervement ou à de la maladresse de sa part je n’arrivais pas à avoir vraiment du plaisir. Alors comme je m’étais rendu compte qu’à nouveau il était en érection je l’ai attiré vers moi en lui disant

  • Prends-moi ! Eh bien figure-toi qu’à peine rentré en moi à nouveau il est parti. J’étais folle de rage, je me suis rhabillée et suis partie.

  • Ma pauvre chérie, quel vilain goujat ! Mais alors si je comprends bien tu es encore toute pleine de sperme ? J’ai mis ma main entre ses cuisses ; elle était gluante. Elle devait avoir été très frustrée car je l’ai sentie se cabrer sous mes doigts !

  • J’ai glisse entre ses cuisses pour me repaître de ses effluves !

Bon s a n g elle était baveuse de sperme et ce soir j ’ai su calmer ses tensions j’ai adoré la sentir jouir dans mes bras et sous les coups redoublés de ma bite en feu. A la suite de cette déception nous n’avons plus évoques ce genre de jeux. Moi j’y pensais à chaque fois que nous faisions l’amour.

Les mois passaient et il nous arrivait certes quelquefois d’évoquer sa nuit avec Hunter mais sans aller plus loin. Et puis avant hier en rentrant du travail je l’ai sentie gênée, comme ayant quelque chose à me demander mais n’osant pas le faire.

Elle s’était faite draguer par un type drôlement beau et très sympa, il lui avait laissé son numéro de portable.

Et là je l’attends avec impatience. Sûrement que cet amant s’est révélé être à la hauteur car là, en ce moment ou j’écris ces lignes il est près de 7 heures du matin. Elle vient de m’envoyer un coup de fil.

  • « Ne t’inquiètes pas, tout c’est bien passé, suis en route, j’arrive bises.

Je vous laisse donc car j’ai l’impression, au ton de sa voix qu’elle s’est bien faite défoncer

Elle va sûrement rentrer défraîchie et suintante de sperme.

Saxe

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Très beau récit ...!
Jaime beaucoup cette histoire merci pour le partage .
Ce récit est incroyablement beau !
Un texte superbe qui met bien l'accent sur le plaisir très subtil qu'on peut éprouver à être trompé.
superbe recit, merci
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